. C’est avec ce texte tendre et nostalgique de Giovanna Iorio que je finis l’année : avec ces roses qu’à Nice, on nomme « roses de baragne », ces fleurs robustes, qui croissent sur les haies des jardins, vergers et potagers, et que l’on hume en passant tant leur parfum est fort . Elles résistent au vent, aux pluies, au temps qui passe et les flétrit sans leur ôter la douceur des.. Read More