. Face à cette installation, découverte aux rencontres d’atelier édition 3, chez Beatrice De Domenico, à Nice, je ne peux que penser aux vers de « L’Art Poétique » de Verlaine, préconisant l’impair « Plus vague et plus soluble dans l’air, Sans rien en lui qui pèse ou qui pose. » La subtile mélancolie – qui transparaît aussi dans les eaux-fortes de Lo Moulis – est ici rendue poignante et im/palpable par la conjonction du fantôme de cette robe.. Read More