photo mbp . Du recueil de poèmes » Sans Toit ni toi » que nous a confié Valentina Casadei, et dans lequel elle aborde les thèmes de la marginalité, de l’exil et de l’exclusion sociale en partant de son histoire personnelle d’Italienne expatriée à Paris, je retiens 3 passages, que je trouve particulièrement émouvants parce que dépourvus de lyrisme pathétique, dans une langue très simple, qui touche directement au coeur. C’est.. Read More
Les événements de l’été d’Embarquement Poétique
. Après le marché de la poésie, où l’anthologie a été présentée au 58 rue Madame, le vendredi 21 juin, regroupant une quarantaine de poètes qui ont lu et partagé leurs textes avec le public, offrant leurs voix à ce Corps poétique que nous avons réalisé collectivement, nous nous retrouverons à Sète, où plusieurs d’entre nous se rendent pour profiter des lectures et événements du festival Voix Vives de Méditerranée,.. Read More
Les salons de juin d’Embarquement Poétique
. Du 31 mai au 2 juin, nous embarquons sur l’Ile des poètes, au Festival du livre de Nice, avec les éditions Chemins de Plume – nous y présenterons notre dernière anthologie, Du Corps du poète au corps poétique – Marilyne Bertoncini dédicacera deux de ses récents ouvrages : L’Anneau de Chillida (Atelier du Grand Tétras, réédité en hommage au sculpteur, dont c’est le centenaire de la naissance) et A.. Read More
Du Corps du poète au corps poétique : bulletin de commande
.Le recueil est paru et peut être commandé par mail à embarquement.poetique@gmail.com ou à l’adresse de l’association : Embarquement Poétique, 3 rue Maréchal Vauban, 06300 – Nice, au prix public de 14 euros plus frais de port. bulletin de commande à télécharger ou recopier : :
Nos prochains événements – mai et juin 2024
. En mai, le vendredi 24, Embarquement poétique vous donne rendez-vous au local des Diables bleus, de 19h à 21h, pour fêter deux naissances : le centenaire de celle du sculpteur Eduardo Chillida (1924-2022), dont l’oeuvre a inspiré le livre L’Anneau de Chillida, et l’arrivée de la petite Lilas (10 mars 2022-), fille de Pauline qui a été pendant des années notre hôtesse chaque 3ème jeudi du mois. Nous souhaitons.. Read More
Nataneli : Éclipse solaire à l’Est
photo mbp « face à l’horizon qui se couche, je me souviens. » . Je me suis levée à l’Est dans un pays au Nord ayant perdu l’ouest. C’est sur cette terre décimée par Hitler que mes premiers pas ont rejoint l’empreinte jaune greffée sur le cœur d’enfant de mon père, celle d’une étoile d’orient sans frontières. J’ai ouvert mes yeux dans la pénombre de ces pierres noircies par les guerres, oui,.. Read More
Anne Barbusse : les microclimats
. il voulait voir des microclimats on avait prononcé le mot sur la terrasse un janvier de soleil de ses yeux il cherchait les microclimats dans le lierre sur le mur de pierres il cherchait il cherchait un petit animal caché dans les branches ou un oiseau il quêtait toujours du côté du ciel un jour il a dit dessine-moi un microclimat on a dessiné des sortes de barba-à-papa on.. Read More
Wang Ziliang : Peinture d’objets inanimés
. Dans le dernier rayon de lumière, les choses acquièrent le droit De rester invisibles ; elles commencent à diffuser l’obscurité, apportant à la lumière leur interprétation. Le vase, la tasse et sa soucoupe ne parlent jamais. La base de ces objets inanimés possède un double silence. Un peu plus tard, un oiseau passe la fenêtre en voletant, traverse la pièce jusqu’au fond et s’arrête devant son ombre laissant derrière.. Read More
Printemps des migrations : faire voler les mots…
. Nous récoltons toujours les mots qui vous viennent d’ailleurs – temporel ou géographique – mots de dialectes régionaux ou d’idiolecte familial, mots d’autres pays et d’autres cultures, qui n’existent pas dans le français-langue-commune, et que nous importons avec vous qui les faites migrer. Dans le cadre des événements du Printemps des Migrations, ces mots seront mis à l’honneur le vendredi 19 avril, à partir de 18h, au local des.. Read More
« Les mots qu’on ravale », Jacques Rolland
photo Paolo Zanardi, Berlin 2008 . Les mots… . Les mots, je les ravale comme des larmes. Comme ils ne tiennent pas en place dans ma mémoire, je les cache où je peux, entre les pages d’un livre, sous une pile de linges ou dans quelque autre recoin de la maison. Quand je sors je les mets dans un sac que je dissimule sous mon manteau. Je fais attention à.. Read More