sur la table une assiette videdans l’obscurité paresseusedisperse des éclaboussures de lunebiseautées par instantet saillantescomme un sabre de feu roule au bord du regard par la fenêtre ouverte tu écoutes un souvenirrevêtu de papierglacéde mots partisdepuis une telle éternitéque tu n’as plus de nomet l’herbe n’en a plus et la couleur des arbress’écroule dans la terredepuis une telle éternitéque la béance des mots suffoque tes paroleset boit ta solitude   dans la.. Read More